Le signe de croix, devenu l’emblème des chrétiens par excellence au fil des siècles, nous vient à l’esprit. Celui qui aujourd’hui encore veut «voir Jésus», provenant peut-être de pays et de cultures où le christianisme est peu connu, que voit-il tout d’abord? Quel est le signe le plus commun qu’il rencontre? Le crucifix, la croix. Dans les églises, dans les maisons des chrétiens, et même portés sur soi. L’important est que le signe soit cohérent avec l’Evangile: la croix ne peut exprimer que l’amour, le service, le don de soi sans réserve: c’est seulement ainsi qu’elle est vraiment l’«arbre de la vie», de la vie surabondante.
Aujourd’hui aussi de nombreuses personnes, souvent sans le dire, de façon implicite, voudraient «voir Jésus», le rencontrer, le connaître. On comprend ici la grande responsabilité à nous, chrétiens, et celle de nos communautés. Nous aussi nous devons répondre à travers le témoignage d’une vie qui se donne dans le service, d’une vie qui assume le style de Dieu — proximité, compassion et tendresse — et qui se donne dans le service. Il s’agit de semer des graines d’amour non par des mots, qui s’envolent, mais par des exemples concrets, simples et courageux; non pas par des condamnations théoriques, mais par des gestes d’amour. Alors le Seigneur, par sa grâce, nous fait porter du fruit, même quand la terre est aride à cause d’incompréhensions, de difficultés ou de persécutions, ou de prétentions de légalismes ou de moralismes cléricaux. Voilà ce qu’est une terre aride. C’est précisément là, dans l’épreuve et dans la solitude, tandis que le grain meurt, que germe la vie pour produire des fruits qui seront mûrs en leur temps. C’est dans ce mélange de mort et de vie que nous pouvons faire l’expérience de la joie et de la vraie fécondité de l’amour, qui se donne toujours, je le répète, dans le style de Dieu: proximité, compassion, tendresse.
Le signe de croix, devenu l’emblème des chrétiens par excellence au fil des siècles, nous vient à l’esprit. Celui qui aujourd’hui encore veut «voir Jésus», provenant peut-être de pays et de cultures où le christianisme est peu connu, que voit-il tout d’abord? Quel est le signe le plus commun qu’il rencontre? Le crucifix, la croix. Dans les églises, dans les maisons des chrétiens, et même portés sur soi. L’important est que le signe soit cohérent avec l’Evangile: la croix ne peut exprimer que l’amour, le service, le don de soi sans réserve: c’est seulement ainsi qu’elle est vraiment l’«arbre de la vie», de la vie surabondante.
Aujourd’hui aussi de nombreuses personnes, souvent sans le dire, de façon implicite, voudraient «voir Jésus», le rencontrer, le connaître. On comprend ici la grande responsabilité à nous, chrétiens, et celle de nos communautés. Nous aussi nous devons répondre à travers le témoignage d’une vie qui se donne dans le service, d’une vie qui assume le style de Dieu — proximité, compassion et tendresse — et qui se donne dans le service. Il s’agit de semer des graines d’amour non par des mots, qui s’envolent, mais par des exemples concrets, simples et courageux; non pas par des condamnations théoriques, mais par des gestes d’amour. Alors le Seigneur, par sa grâce, nous fait porter du fruit, même quand la terre est aride à cause d’incompréhensions, de difficultés ou de persécutions, ou de prétentions de légalismes ou de moralismes cléricaux. Voilà ce qu’est une terre aride. C’est précisément là, dans l’épreuve et dans la solitude, tandis que le grain meurt, que germe la vie pour produire des fruits qui seront mûrs en leur temps. C’est dans ce mélange de mort et de vie que nous pouvons faire l’expérience de la joie et de la vraie fécondité de l’amour, qui se donne toujours, je le répète, dans le style de Dieu: proximité, compassion, tendresse.